750 grammes
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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 20:47
Le KIWI

Différentes variétés
Aujourd'hui, l'Italie est le premier producteur mondial devant la Nouvelle-Zélande et le Chili. La France arrive en quatrième position, c'est le deuxième producteur européen. On y cultive le kiwi principalement dans le sud-ouest et en Corse.

Il existe différentes variétés de kiwi :
- Hayward : à la peau veloutée, de couleur gris brun, à la chair vert pâle ponctuée de pépins noirs ; c'est le plus courant,
- Zespri Gold : à la peau brune presque l...isse, à la chair jaune dorée et au goût légèrement acidulé ; c'est la deuxième grande variété de kiwi,
- Monty : petit et gris,
- Bruno : allongé et brun foncé,
- Abbott : marron clair et en forme de poire,
- Kiwi arctique,
- Kiwi de Sibérie ou kiwai.

Le kiwi de l'Adour (entre les Landes et les Pyrénées-Atlantiques) possède le fameux Label Rouge et, avec 20 000 tonnes de kiwis récoltés par an, représente le quart de la production nationale.

Valeur nutritive
Le premier atout du kiwi est son apport calorique modéré. Avec 47 kcal/100 g, il se situe au même niveau que la clémentine ou l'abricot.

Mais il est surtout connu pour sa richesse en vitamine C, qui atteint le taux remarquable de 80 mg/100 g (plus que les agrumes !). Ainsi, un kiwi permet à lui seul de couvrir l'apport journalier conseillé en vitamine C.
Il est également très riche en vitamine K et contient des vitamines B9, E, ainsi que du potassium et du cuivre.

Il est très riche en fibres alimentaires bien réparties entre les fibres insolubles (cellulose, hémi-celluloses) qui représentent environ les 2/3 du total, et les fibres solubles (pectines). Avec seulement deux kiwis, nous ingérons plus de 5 g de fibres, soit environ 15 % de l’objectif à atteindre quotidiennement.

Les composés phénoliques du kiwi ont des propriétés anti-oxydantes : acides phénoliques, flavanes (épicatéchine, catéchine), procyanidines et flavonols (quercétine, kaempferol). Ces composés auraient, d'après de nombreuses études, un effet bénéfique sur la prévention des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et de maladies liées au vieillissement.

Comment le choisir ?
Le kiwi doit être intact et sans tache. On peut le choisir souple pour un fruit fondant et sucré, ou plus ferme pour un fruit plus acidulé.
On peut aussi l'acheter bien ferme, il mûrit très bien dans la corbeille de fruits.
La taille du fruit n'a aucune incidence sur sa qualité.

Comment le conserver ?
Il se conserve plusieurs semaines au réfrigérateur. Placé dans une corbeille de fruit à température ambiante, il mûrit doucement. Sa maturation s'accélère s'il est à proximité de pommes ou de bananes.

Il se congèle facilement, coupé en tranches ou en purée.

Comment le manger ?
Comme tous les fruits, on peut le manger nature, tout simplement.
Une manière facile : on l'ouvre en deux et on le déguste à la petite cuillère.

Il s'épluche aisément et, coupé en cubes ou en rondelles, il agrémente les céréales du petit-déjeuner ou les salades, décore les plats, entre dans la composition des gâteaux, des tartes, des clafoutis, des crêpes…
source: www.viesaineetzen.com
Photo : Le KIWI Différentes variétés Aujourd'hui, l'Italie est le premier producteur mondial devant la Nouvelle-Zélande et le Chili. La France arrive en quatrième position, c'est le deuxième producteur européen. On y cultive le kiwi principalement dans le sud-ouest et en Corse. Il existe différentes variétés de kiwi : - Hayward : à la peau veloutée, de couleur gris brun, à la chair vert pâle ponctuée de pépins noirs ; c'est le plus courant, - Zespri Gold : à la peau brune presque lisse, à la chair jaune dorée et au goût légèrement acidulé ; c'est la deuxième grande variété de kiwi, - Monty : petit et gris, - Bruno : allongé et brun foncé, - Abbott : marron clair et en forme de poire, - Kiwi arctique, - Kiwi de Sibérie ou kiwai. Le kiwi de l'Adour (entre les Landes et les Pyrénées-Atlantiques) possède le fameux Label Rouge et, avec 20 000 tonnes de kiwis récoltés par an, représente le quart de la production nationale. Valeur nutritive Le premier atout du kiwi est son apport calorique modéré. Avec 47 kcal/100 g, il se situe au même niveau que la clémentine ou l'abricot. Mais il est surtout connu pour sa richesse en vitamine C, qui atteint le taux remarquable de 80 mg/100 g (plus que les agrumes !). Ainsi, un kiwi permet à lui seul de couvrir l'apport journalier conseillé en vitamine C. Il est également très riche en vitamine K et contient des vitamines B9, E, ainsi que du potassium et du cuivre. Il est très riche en fibres alimentaires bien réparties entre les fibres insolubles (cellulose, hémi-celluloses) qui représentent environ les 2/3 du total, et les fibres solubles (pectines). Avec seulement deux kiwis, nous ingérons plus de 5 g de fibres, soit environ 15 % de l’objectif à atteindre quotidiennement. Les composés phénoliques du kiwi ont des propriétés anti-oxydantes : acides phénoliques, flavanes (épicatéchine, catéchine), procyanidines et flavonols (quercétine, kaempferol). Ces composés auraient, d'après de nombreuses études, un effet bénéfique sur la prévention des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et de maladies liées au vieillissement. Comment le choisir ? Le kiwi doit être intact et sans tache. On peut le choisir souple pour un fruit fondant et sucré, ou plus ferme pour un fruit plus acidulé. On peut aussi l'acheter bien ferme, il mûrit très bien dans la corbeille de fruits. La taille du fruit n'a aucune incidence sur sa qualité. Comment le conserver ? Il se conserve plusieurs semaines au réfrigérateur. Placé dans une corbeille de fruit à température ambiante, il mûrit doucement. Sa maturation s'accélère s'il est à proximité de pommes ou de bananes. Il se congèle facilement, coupé en tranches ou en purée. Comment le manger ? Comme tous les fruits, on peut le manger nature, tout simplement. Une manière facile : on l'ouvre en deux et on le déguste à la petite cuillère. Il s'épluche aisément et, coupé en cubes ou en rondelles, il agrémente les céréales du petit-déjeuner ou les salades, décore les plats, entre dans la composition des gâteaux, des tartes, des clafoutis, des crêpes… source: www.viesaineetzen.com
 
 
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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 20:45
LA BETTE

Les différentes variétés
Elle a un ancêtre commun avec la betterave dont elle est très proche. De la famille des chénopodiacées, c'est aussi une cousine de l'épinard, du quinoa et de la salicorne.
On consomme la feuille de la plante, composée d'une partie verte et de la tige appelée côte ou carde qui, selon les variétés, peut être de couleurs différentes : blanche, rouge ou jaune.

Les principales variétés sont : la bette épinard, la verte à couper, la bette blanche... commune, la frisée à carde blanche, la blonde à carde blanche de Lyon, la verte à carde blanche de Paris, à carde rouge, à carde jaune du Chili…

Elle se cultive partout en France.

Valeur nutritive
Elle est très légère avec seulement 21 kcal pour 100 g et apporte plus de protéines que la plupart des autres légumes.

Elle est très riche en magnésium, fer, vitamine A et K.
Riche en manganèse et cuivre, elle contient également du calcium, du potassium des vitamines B2, B6, C et E.

Elle est riche en antioxydants, bétalaïnes (bétaxanthines, bétacyanines…) et flavonoïdes (rhamnoside, isorhamnetine, kaempferol), qui seraient bénéfiques contre le cancer et le diabète de type 2.
La variété à carde rouge en possède plus que les autres.

Comment la choisir
Les feuilles doivent être bien vertes, brillantes, intactes, fermes et charnues.
Les côtes doivent être fermes et sans taches.

Comment la conserver
Environ une semaine dans le bac à légume de réfrigérateur, dans un linge propre ou un sac en plastique perforé.
Les côtes peuvent se garder plus longtemps si elles sont séparées des feuilles.

Les feuilles se congèlent très bien, une fois blanchies (portées à ébullition dans l'eau pendant deux minutes puis refroidies à l'eau froide).

Comment la préparer
Il faut la laver soigneusement.
Puis on sépare les feuilles des côtes.
Si les côtes sont grosses et filandreuses on peut les casser pour faire apparaître la fine pellicule translucide et l'ôter avec un couteau de cuisine. Sinon, il suffit de couper les côtes en petits tronçons de quelques centimètres.

Comment la cuire
On la cuit généralement dans de l'eau salée ou à la vapeur.
Les feuilles cuisent beaucoup plus vite que les côtes. Elles peuvent être blanchies séparément et préparées comme les épinards ou ajoutées aux côtes environ 10 minutes avant la fin de la cuisson.
Elle peut également être frite, sautée ou braisée.

Comment la déguster
Crue, on peut utiliser ses jeunes feuilles en salade.

Elle est consommée généralement cuite, assaisonnée de jus de viande, de citron, de crème, de beurre, d'huile d'olive, de sauce tomate ou béchamel. Elle se marie parfaitement avec l'ail, l'échalote, le persil, le fromage (parmesan, roquefort, chèvre…).

Elle accompagne des plats de poissons, de viandes, de volailles, de céréales, risotto ou pâtes.

C'est l'ingrédient principal de nombreux plats régionaux, notamment dans les Alpes et le sud de la France : par exemple la tourte sucrée niçoise aux feuilles de bette avec des pignons de pin et des raisins secs ou le pormonier savoyard, une saucisse à base de lard, de chou et de feuilles de bette… En Corse, on en farcit des raviolis en compagnie de raisins secs, d'eau-de-vie, de zestes de citron et de jus d'arbouse.

Elle entre dans la composition de tartes, quiches, omelettes, purées, gratins, farces, beignets, soupes…
Photo : LA BETTE Les différentes variétés Elle a un ancêtre commun avec la betterave dont elle est très proche. De la famille des chénopodiacées, c'est aussi une cousine de l'épinard, du quinoa et de la salicorne. On consomme la feuille de la plante, composée d'une partie verte et de la tige appelée côte ou carde qui, selon les variétés, peut être de couleurs différentes : blanche, rouge ou jaune. Les principales variétés sont : la bette épinard, la verte à couper, la bette blanche commune, la frisée à carde blanche, la blonde à carde blanche de Lyon, la verte à carde blanche de Paris, à carde rouge, à carde jaune du Chili… Elle se cultive partout en France. Valeur nutritive Elle est très légère avec seulement 21 kcal pour 100 g et apporte plus de protéines que la plupart des autres légumes. Elle est très riche en magnésium, fer, vitamine A et K. Riche en manganèse et cuivre, elle contient également du calcium, du potassium des vitamines B2, B6, C et E. Elle est riche en antioxydants, bétalaïnes (bétaxanthines, bétacyanines…) et flavonoïdes (rhamnoside, isorhamnetine, kaempferol), qui seraient bénéfiques contre le cancer et le diabète de type 2. La variété à carde rouge en possède plus que les autres. Comment la choisir Les feuilles doivent être bien vertes, brillantes, intactes, fermes et charnues. Les côtes doivent être fermes et sans taches. Comment la conserver Environ une semaine dans le bac à légume de réfrigérateur, dans un linge propre ou un sac en plastique perforé. Les côtes peuvent se garder plus longtemps si elles sont séparées des feuilles. Les feuilles se congèlent très bien, une fois blanchies (portées à ébullition dans l'eau pendant deux minutes puis refroidies à l'eau froide). Comment la préparer Il faut la laver soigneusement. Puis on sépare les feuilles des côtes. Si les côtes sont grosses et filandreuses on peut les casser pour faire apparaître la fine pellicule translucide et l'ôter avec un couteau de cuisine. Sinon, il suffit de couper les côtes en petits tronçons de quelques centimètres. Comment la cuire On la cuit généralement dans de l'eau salée ou à la vapeur. Les feuilles cuisent beaucoup plus vite que les côtes. Elles peuvent être blanchies séparément et préparées comme les épinards ou ajoutées aux côtes environ 10 minutes avant la fin de la cuisson. Elle peut également être frite, sautée ou braisée. Comment la déguster Crue, on peut utiliser ses jeunes feuilles en salade. Elle est consommée généralement cuite, assaisonnée de jus de viande, de citron, de crème, de beurre, d'huile d'olive, de sauce tomate ou béchamel. Elle se marie parfaitement avec l'ail, l'échalote, le persil, le fromage (parmesan, roquefort, chèvre…). Elle accompagne des plats de poissons, de viandes, de volailles, de céréales, risotto ou pâtes. C'est l'ingrédient principal de nombreux plats régionaux, notamment dans les Alpes et le sud de la France : par exemple la tourte sucrée niçoise aux feuilles de bette avec des pignons de pin et des raisins secs ou le pormonier savoyard, une saucisse à base de lard, de chou et de feuilles de bette… En Corse, on en farcit des raviolis en compagnie de raisins secs, d'eau-de-vie, de zestes de citron et de jus d'arbouse. Elle entre dans la composition de tartes, quiches, omelettes, purées, gratins, farces, beignets, soupes…
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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 20:42

 

LA BETTERAVE

Les différentes variétés
De la famille des chénopodiacées, la betterave est cousine de la bette, autrement appelée "blette" ou "poirée".

Il existe trois types de betteraves à l'intérieur desquels se trouvent de multiples variétés :
- la betterave sucrière, qu'on utilise pour la production de sucre, d'alcool ou d'agroéthanol (dit "bio"éthanol) très décrié par les associations écologistes,
- la betterave fourragère, destinée à l'alimentation animale, principaleme...nt celle des ruminants,
- la betterave potagère : ronde (bolivar, monopoly, tardel, red ace, rougette, warrior) ou tronconique (crapaudine) ; d'autres variétés anciennes reviennent à la mode : l'égyptienne, la jaune, la blanche ou la chioggia.

Valeur nutritive
Sa richesse en sucre donne à la betterave une valeur calorique assez élevée pour un légume (40 kcal/100 g), mais somme toute encore modérée.

La betterave est riche en vitamine B9, en magnésium, en fer, en manganèse et contient du cuivre et du potassium.
Ses feuilles sont également comestibles et riches en vitamines A, B2, B9 et K ainsi qu'en magnésium, fer, manganèse, cuivre. Elles contiennent également des vitamines B1, B5, B6, C et E ainsi que du calcium et du potassium.

La betterave ferait partie des dix légumes ayant le meilleur potentiel antioxydant. Elle le doit à ses composés phénoliques (flavonoïdes), et ses bétalaïnes, pigments contribuant à sa couleur prononcée. Ses feuilles contiennent de la lutéine et de la zéaxanthine, deux composés antioxydants de la famille des caroténoïdes.

Les fibres alimentaires (2,5g/100g) de la betterave sont plus douces et mieux tolérées par les intestins délicats quand le légume est consommé cuit. Cru, il faut le râper le plus finement possible.

Du rouge dans les urines
Si votre urine prend une couleur rouge quelques heures après avoir mangé de la betterave, pas d'inquiétude. C'est juste que les bétalaïnes de la betterave ont été absorbées par votre intestin au lieu d’être dégradées. Plusieurs raisons possibles à cela : acidité de votre estomac, rapidité de votre digestion, variété de betterave consommée...

Comment la choisir
Crue, elle se doit d'être ferme, l'écorce pas trop sèche. Avec ses feuilles, c'est encore mieux.
Cuite, la peau doit être lisse, sans tache noire ni gerçure. Pour éviter qu'elle soit fibreuse, il vaut mieux la choisir petite.

Comment la conserver
Une à deux semaines dans le bac à légumes du réfrigérateur, dans un sac en papier ou en plastique perforé.
Elle se congèle très bien, cuite, coupée en tranches ou en cubes.

Comment la cuire
On peut soit la mettre au four, soit la plonger dans l'eau bouillante salée ou même à la vapeur. Dans tous les cas il faut compter au moins deux heures. On peut aussi la trouver déjà cuite dans le commerce.
Photo : LA BETTERAVE Les différentes variétés De la famille des chénopodiacées, la betterave est cousine de la bette, autrement appelée "blette" ou "poirée". Il existe trois types de betteraves à l'intérieur desquels se trouvent de multiples variétés : - la betterave sucrière, qu'on utilise pour la production de sucre, d'alcool ou d'agroéthanol (dit "bio"éthanol) très décrié par les associations écologistes, - la betterave fourragère, destinée à l'alimentation animale, principalement celle des ruminants, - la betterave potagère : ronde (bolivar, monopoly, tardel, red ace, rougette, warrior) ou tronconique (crapaudine) ; d'autres variétés anciennes reviennent à la mode : l'égyptienne, la jaune, la blanche ou la chioggia. Valeur nutritive Sa richesse en sucre donne à la betterave une valeur calorique assez élevée pour un légume (40 kcal/100 g), mais somme toute encore modérée. La betterave est riche en vitamine B9, en magnésium, en fer, en manganèse et contient du cuivre et du potassium. Ses feuilles sont également comestibles et riches en vitamines A, B2, B9 et K ainsi qu'en magnésium, fer, manganèse, cuivre. Elles contiennent également des vitamines B1, B5, B6, C et E ainsi que du calcium et du potassium. La betterave ferait partie des dix légumes ayant le meilleur potentiel antioxydant. Elle le doit à ses composés phénoliques (flavonoïdes), et ses bétalaïnes, pigments contribuant à sa couleur prononcée. Ses feuilles contiennent de la lutéine et de la zéaxanthine, deux composés antioxydants de la famille des caroténoïdes. Les fibres alimentaires (2,5g/100g) de la betterave sont plus douces et mieux tolérées par les intestins délicats quand le légume est consommé cuit. Cru, il faut le râper le plus finement possible. Du rouge dans les urines Si votre urine prend une couleur rouge quelques heures après avoir mangé de la betterave, pas d'inquiétude. C'est juste que les bétalaïnes de la betterave ont été absorbées par votre intestin au lieu d’être dégradées. Plusieurs raisons possibles à cela : acidité de votre estomac, rapidité de votre digestion, variété de betterave consommée... Comment la choisir Crue, elle se doit d'être ferme, l'écorce pas trop sèche. Avec ses feuilles, c'est encore mieux. Cuite, la peau doit être lisse, sans tache noire ni gerçure. Pour éviter qu'elle soit fibreuse, il vaut mieux la choisir petite. Comment la conserver Une à deux semaines dans le bac à légumes du réfrigérateur, dans un sac en papier ou en plastique perforé. Elle se congèle très bien, cuite, coupée en tranches ou en cubes. Comment la cuire On peut soit la mettre au four, soit la plonger dans l'eau bouillante salée ou même à la vapeur. Dans tous les cas il faut compter au moins deux heures. On peut aussi la trouver déjà cuite dans le commerce.
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28 décembre 2012 5 28 /12 /décembre /2012 13:48



LE THYM

Né d'une larme de princesse
Selon la légende, l'enlèvement de la Belle Hélène par Pâris, à l'origine de la guerre de Troie, attrista la princesse et à chaque larme de ses yeux qui tombait sur le sol naissait une touffe de thym.

Courage et amour durable
Dès l'antiquité il est un symbole de courage et la tradition se perpétue jusqu'au Moyen-âge où, pour l'élu de leur cœur, les gentes demoiselles brodent sur des écharpes des abeilles voletant près d'une branche de thym....
Dans le langage des fleurs, il est symbole de courage et d'activité ainsi que d'amour durable.

300 variétés de thym
De la famille des Lamiacées, c'est un cousin de la lavande, de la menthe, du romarin, de la sauge, de la sarriette.
Il en existe environ 300 variétés, thym sauvage ou serpolet, thym citron, thym alpestre, de Corse… Mais le plus courant est le thym commun (thymus vulgaris).

Le thymol : huile essentielle du thym
Le thym est très riche en fer et en vitamine K. Il contient également du calcium, du manganèse et de la vitamine C**.
La principale huile essentielle du thym commun est le thymol à qui il doit ses nombreuses vertus.

De nombreuses propriétés médicinales
En phytothérapie, c'est une des plantes à qui l'on attribue le plus grand nombre de propriétés* : antiparasitaire (vermifuge), antibactérienne, antispasmodique de la musculature lisse (en particulier de la fibre bronchique), stimulant du système nerveux central, hypertenseur, antifongique, antivirale, tonique et astringente cutanée, neuro-, utéro-, cardiotonique.

On utilise ses feuilles sous forme d'infusion dans les cas suivants* : affections digestives (indigestion, embarras gastriques, flatulence intestinale), toux, asthénies (anxiétés, angoisse, insomnie)…

L'Huile Essentielle (HE), qui est rectifiée pour en éliminer les substances irritantes, est cicatrisante et antiseptique. On l'utilise notamment dans les cas suivants* : infections ORL (sinusites, otites, rhinopharyngites), infections urinaires (cystites, urétrites), infections gynécologiques (vaginites, cervicites), acnés et eczémas, accouchement, fatigue cardiaque.
(Attention : l'HE est contre-indiquée chez la femme enceinte.)

En médecine conventionnelle, des études ont montré l'efficacité du thymol pour favoriser la circulation sanguine et relaxer les vaisseaux sanguins***. Des extraits combinés de thym et de racine de primevère ont fait leurs preuves sur la bronchite, de thym et de lierre grimpant sur la toux**.

Le choisir et le conserver
Dans le commerce on le trouve séché. Entier, il aura plus de saveur.
Si possible, rien ne vaut du thym fraichement récolté, surtout pour une utilisation immédiate. Pour conserver du thym frais on peut le faire sécher la tête en bas. On peut aussi le congeler en le disposant dans des bacs à glaçons, en les remplissant d'eau et en stockant ensuite les glaçons ainsi obtenus.

Un bouquet de parfums dans la cuisine
Dans la cuisine traditionnelle il fait partie du bouquet garni qui aromatise soupes, ragoûts, courts-bouillons, plats mijotés, marinades... Il fait également partie des herbes de Provence qui assaisonnent le poisson, la viande et de nombreuses préparations à base de légumes comme la ratatouille.

Seul, en branche ou émietté, il donne une saveur particulière aux poissons, viandes ou légumes rôtis. Il peut relever également les œufs brouillés, les omelettes, les pâtes, les salades, le fromage (de chèvre notamment), les pommes de terre, les lentilles…

On peut le faire macérer dans du vinaigre, préalablement chauffé, ou dans de l'huile pour les aromatiser.

Le thym citron accompagne divinement les desserts : figue, poire, salade de fruits, sirop, tarte…

En infusion, il peut remplacer le café ou le thé du matin.

Une délicieuse recette de vin au thym : il suffit de faire macérer pendant 40 jours environ 30 g de thym dans un litre de vin blanc.
Photo : LE THYM Né d'une larme de princesse Selon la légende, l'enlèvement de la Belle Hélène par Pâris, à l'origine de la guerre de Troie, attrista la princesse et à chaque larme de ses yeux qui tombait sur le sol naissait une touffe de thym. Courage et amour durable Dès l'antiquité il est un symbole de courage et la tradition se perpétue jusqu'au Moyen-âge où, pour l'élu de leur cœur, les gentes demoiselles brodent sur des écharpes des abeilles voletant près d'une branche de thym. Dans le langage des fleurs, il est symbole de courage et d'activité ainsi que d'amour durable. 300 variétés de thym De la famille des Lamiacées, c'est un cousin de la lavande, de la menthe, du romarin, de la sauge, de la sarriette. Il en existe environ 300 variétés, thym sauvage ou serpolet, thym citron, thym alpestre, de Corse… Mais le plus courant est le thym commun (thymus vulgaris). Le thymol : huile essentielle du thym Le thym est très riche en fer et en vitamine K. Il contient également du calcium, du manganèse et de la vitamine C**. La principale huile essentielle du thym commun est le thymol à qui il doit ses nombreuses vertus. De nombreuses propriétés médicinales En phytothérapie, c'est une des plantes à qui l'on attribue le plus grand nombre de propriétés* : antiparasitaire (vermifuge), antibactérienne, antispasmodique de la musculature lisse (en particulier de la fibre bronchique), stimulant du système nerveux central, hypertenseur, antifongique, antivirale, tonique et astringente cutanée, neuro-, utéro-, cardiotonique. On utilise ses feuilles sous forme d'infusion dans les cas suivants* : affections digestives (indigestion, embarras gastriques, flatulence intestinale), toux, asthénies (anxiétés, angoisse, insomnie)… L'Huile Essentielle (HE), qui est rectifiée pour en éliminer les substances irritantes, est cicatrisante et antiseptique. On l'utilise notamment dans les cas suivants* : infections ORL (sinusites, otites, rhinopharyngites), infections urinaires (cystites, urétrites), infections gynécologiques (vaginites, cervicites), acnés et eczémas, accouchement, fatigue cardiaque. (Attention : l'HE est contre-indiquée chez la femme enceinte.) En médecine conventionnelle, des études ont montré l'efficacité du thymol pour favoriser la circulation sanguine et relaxer les vaisseaux sanguins***. Des extraits combinés de thym et de racine de primevère ont fait leurs preuves sur la bronchite, de thym et de lierre grimpant sur la toux**. Le choisir et le conserver Dans le commerce on le trouve séché. Entier, il aura plus de saveur. Si possible, rien ne vaut du thym fraichement récolté, surtout pour une utilisation immédiate. Pour conserver du thym frais on peut le faire sécher la tête en bas. On peut aussi le congeler en le disposant dans des bacs à glaçons, en les remplissant d'eau et en stockant ensuite les glaçons ainsi obtenus. Un bouquet de parfums dans la cuisine Dans la cuisine traditionnelle il fait partie du bouquet garni qui aromatise soupes, ragoûts, courts-bouillons, plats mijotés, marinades... Il fait également partie des herbes de Provence qui assaisonnent le poisson, la viande et de nombreuses préparations à base de légumes comme la ratatouille. Seul, en branche ou émietté, il donne une saveur particulière aux poissons, viandes ou légumes rôtis. Il peut relever également les œufs brouillés, les omelettes, les pâtes, les salades, le fromage (de chèvre notamment), les pommes de terre, les lentilles… On peut le faire macérer dans du vinaigre, préalablement chauffé, ou dans de l'huile pour les aromatiser. Le thym citron accompagne divinement les desserts : figue, poire, salade de fruits, sirop, tarte… En infusion, il peut remplacer le café ou le thé du matin. Une délicieuse recette de vin au thym : il suffit de faire macérer pendant 40 jours environ 30 g de thym dans un litre de vin blanc.
 
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22 décembre 2012 6 22 /12 /décembre /2012 15:25
LA CLEMENTINE

Différentes variétés
Comme la mandarine et la tangerine, la clémentine est un agrume de l’espèce "Citrus reticulata".
La clémentine est un fruit pratiquement sans pépin : sa reproduction se fait généralement par greffage, dans la plupart des cas c'est un hybride stérile. C'est la raison pour laquelle, en plus de son épluchage facile, elle a détrôné la mandarine dans nos corbeilles de fruits.

Les variétés les plus courantes de clémentines sont :
- bekria : peti...te, verte, plages orangées, sans pépins,
- clémentine corse : petite, rouge-orangé, sans pépins, présentée avec deux feuilles,
- clémentine Monréal : nombreux pépins,
- clémentine ordinaire : moyenne à grosse, peau orange foncé, quelques pépins,
- fines : petite à moyenne,
- nules, oroval : moyenne à grosse, peau rugueuse, quelques pépins.

On trouve également sur nos marchés la clémenvilla, hybride de clémentine et de tangelo (lui-même résultat du croisement entre une tangerine et un pomelo).

Valeur nutritive
Elle est légère, avec seulement 46 kcal/100 g.

Elle est riche en vitamine C. Deux fruits suffisent à satisfaire 50 % de nos besoins quotidiens.
Elle contient également des vitamines B1, B6, B9.

Elle est également riche en fibres alimentaires, notamment en fibres solubles (pectine).

Elle est très riche en anti-oxydants : flavonoïdes (tangérétine, nobilétine et hespérétine), caroténoïdes (bêta-cryptoxanthine, zéaxanthine, bêta et alpha-carotène) et limonoïdes (limonine et nomiline). Ces composés, que l'on retrouve en plus grande quantité que dans les autres agrumes, auraient, d'après de nombreuses études, un effet bénéfique sur la prévention des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et de maladies liées au vieillissement.
Une étude montre que des gens en ayant consommé au moins une fois par semaine présentent des risques beaucoup plus faibles de développer un cancer du nasopharynx que ceux qui en mangent moins d’une fois par mois. On suppose que la vitamine C du fruit, qui contribuerait pour 46 % de la capacité anti-oxydante du jus de clémentine, bloquerait la formation de composés cancérigènes.

La bêta-cryptoxanthine de la clémentine joue également un rôle dans la santé osseuse, permettant de synthétiser le calcium.

Comment la choisir
Elle doit être ferme, lourde, bien colorée, sans parties molles, signe de pourriture. La couleur et l'épaisseur de la peau n'ont pas d'importance, ils diffèrent selon la variété du fruit et non selon son degré de maturité.

Surtout si l'on utilise l'écorce, il convient de choisir des clémentines "non traitées". Cela veut dire qu'elles ne reçoivent pas de traitement après la récolte mais qu'elles peuvent donc en recevoir avant. L'idéal est donc de choisir des fruits bio.

Comment la conserver
Dans le bac à légumes du réfrigérateur, on peut la garder jusqu'à deux semaines. Il vaut mieux alors prendre soin de la sortir à l'avance, car elle est plus juteuse à température de la pièce.

Comment la manger
Nature, tout simplement après avoir retiré l'écorce avec les doigts. Rien de plus facile !

On peut aussi glisser ses quartiers tels quels dans les salades de fruits ou de crudités. Ils se marient également avec les crustacés : crevettes, gambas et homard...

La clémentine s'incorpore parfaitement à des puddings, des gâteaux, des pâtes à pain ou à crêpes… Elle y a les mêmes vertus que l'orange.
Source: viesaineetzen.fr
 
Photo : LA CLEMENTINE Différentes variétés Comme la mandarine et la tangerine, la clémentine est un agrume de l’espèce "Citrus reticulata". La clémentine est un fruit pratiquement sans pépin : sa reproduction se fait généralement par greffage, dans la plupart des cas c'est un hybride stérile. C'est la raison pour laquelle, en plus de son épluchage facile, elle a détrôné la mandarine dans nos corbeilles de fruits. Les variétés les plus courantes de clémentines sont : - bekria : petite, verte, plages orangées, sans pépins, - clémentine corse : petite, rouge-orangé, sans pépins, présentée avec deux feuilles, - clémentine Monréal : nombreux pépins, - clémentine ordinaire : moyenne à grosse, peau orange foncé, quelques pépins, - fines : petite à moyenne, - nules, oroval : moyenne à grosse, peau rugueuse, quelques pépins. On trouve également sur nos marchés la clémenvilla, hybride de clémentine et de tangelo (lui-même résultat du croisement entre une tangerine et un pomelo). Valeur nutritive Elle est légère, avec seulement 46 kcal/100 g. Elle est riche en vitamine C. Deux fruits suffisent à satisfaire 50 % de nos besoins quotidiens. Elle contient également des vitamines B1, B6, B9. Elle est également riche en fibres alimentaires, notamment en fibres solubles (pectine). Elle est très riche en anti-oxydants : flavonoïdes (tangérétine, nobilétine et hespérétine), caroténoïdes (bêta-cryptoxanthine, zéaxanthine, bêta et alpha-carotène) et limonoïdes (limonine et nomiline). Ces composés, que l'on retrouve en plus grande quantité que dans les autres agrumes, auraient, d'après de nombreuses études, un effet bénéfique sur la prévention des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et de maladies liées au vieillissement. Une étude montre que des gens en ayant consommé au moins une fois par semaine présentent des risques beaucoup plus faibles de développer un cancer du nasopharynx que ceux qui en mangent moins d’une fois par mois. On suppose que la vitamine C du fruit, qui contribuerait pour 46 % de la capacité anti-oxydante du jus de clémentine, bloquerait la formation de composés cancérigènes. La bêta-cryptoxanthine de la clémentine joue également un rôle dans la santé osseuse, permettant de synthétiser le calcium. Comment la choisir Elle doit être ferme, lourde, bien colorée, sans parties molles, signe de pourriture. La couleur et l'épaisseur de la peau n'ont pas d'importance, ils diffèrent selon la variété du fruit et non selon son degré de maturité. Surtout si l'on utilise l'écorce, il convient de choisir des clémentines "non traitées". Cela veut dire qu'elles ne reçoivent pas de traitement après la récolte mais qu'elles peuvent donc en recevoir avant. L'idéal est donc de choisir des fruits bio. Comment la conserver Dans le bac à légumes du réfrigérateur, on peut la garder jusqu'à deux semaines. Il vaut mieux alors prendre soin de la sortir à l'avance, car elle est plus juteuse à température de la pièce. Comment la manger Nature, tout simplement après avoir retiré l'écorce avec les doigts. Rien de plus facile ! On peut aussi glisser ses quartiers tels quels dans les salades de fruits ou de crudités. Ils se marient également avec les crustacés : crevettes, gambas et homard... La clémentine s'incorpore parfaitement à des puddings, des gâteaux, des pâtes à pain ou à crêpes… Elle y a les mêmes vertus que l'orange. Source: viesaineetzen.fr

 

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 15:24

 

L'EPINARD

Différentes variétés
Il apprécie les terrains frais et les climats tempérés.
Il existe plus de 20 variétés d'épinards : Monstrueux de Viroflay, Géant d'hiver, Polka, Symphonie…

Différentes régions de France le produisent :
- au printemps : Bretagne, Île-de-France,
- en automne : Picardie, Île-de-France,
... - en hiver : Provence-Alpes-Côte-d'Azur.

L'été, on trouve sur les marchés une plante voisine, la tétragone cornue, qu'on appelle aussi "épinard d’été" ou "de Nouvelle-Zélande", et qu'on cuisine comme l'épinard.

L’épinard est le deuxième légume surgelé consommé en France, derrière le haricot vert.
Au niveau mondial, les principaux pays producteurs sont les États-Unis, les Pays-Bas et la Scandinavie.

Valeur nutritive
C'est un des végétaux les plus légers (25 kcal/100 g).

Il est très riche en magnésium, manganèse, fer, vitamine A, B9, très intéressante notamment pour les femmes enceintes, et K.
Il est riche en cuivre, vitamine B2 et B6.
Il contient également du calcium, du phosphore, du potassium, du zinc, et des vitamines B1, C et E.

L'épinard contient plusieurs antioxydants : caroténoïdes (lutéine, zéaxanthine), acide férulique, chlorophylle. Il contient de la bétaïne, susceptible d'aider à traiter certaines maladies du foie, de réduire les risques de maladies cardiovasculaires et d'améliorer la performance athlétique.
Il contient également en grande quantité des glycolipides, qu'on trouve aussi dans le thé vert et le persil, auxquels les chercheurs attribuent un potentiel anticancer.

Il est riche en fibres alimentaires (2,7 g/100 g).

Comment le choisir
Ses feuilles doivent être souples, vert foncé, brillantes, tendres et charnues. Il faut éliminer les feuilles fanées, abîmées, avec des taches jaunes ou noires ainsi que celles qui sont trop humides. On préfèrera les jeunes pousses qui sont souvent plus tendres.

Comment le conserver
Pas plus de deux jours dans le bac à légumes du réfrigérateur. Il est fragile et, une fois cueilli, il perd rapidement ses vitamines. Le mieux est de le cuisiner dans la journée qui suit l'achat.

L'épinard se conserve très bien au congélateur. Il doit être au préalable blanchi (passé dans l'eau bouillante puis rincé à l'eau froide) pendant deux minutes, puis il faut l'essorer avant de le mettre dans les sacs de congélation.

Comment le préparer
Il faut enlever les feuilles indésirables, puis le laver à grande eau sans le faire tremper pour éviter la perte de vitamines.

Sauf pour les jeunes pousses, il faut ensuite enlever la côte de la feuille. Avec un petit couteau, on coupe la queue à sa base, puis en pinçant la feuille, on tire la nervure du côté opposé, jusqu'en haut de la feuille.

Comment le déguster
Cru, on mange les jeunes pousses d'épinard en salade : seules, mélangées avec d'autres salades (cresson, oseille, roquette…) ou divers ingrédients (parmesan, mozarella, pomme, poire, orange, noix, avocat, pommes de terre…).

Pour le faire cuire, certains le font bouillir dans une casserole d'eau salée, d'autres le font revenir directement à la poêle.
Plus la cuisson est rapide, plus ses qualités nutritionnelles seront préservées.
Le mieux est de le faire cuire à la vapeur ou à l'étuvée. Il suffit par exemple de le mettre, à peine égoutté, dans une grande casserole à feu moyen sans ajouter d'eau, et de le laisser cuire à couvert une dizaine de minutes en le retournant à mi-parcours.
Attention, il réduit énormément, il faut prévoir environ 1 kg d'épinard pour quatre personnes !

On le sert ensuite nature ou nappé d'un peu de beurre et de jus de citron, d'un filet d'huile d'olive, de crème fraîche, de sauce Mornay ou béchamel…

L'épinard entre dans la composition de soupes, purées, gratins, soufflés, farces, tartes, quiches, pâtés, terrines…

source:www.viesaineetzen.com
 
Photo : L'EPINARD Différentes variétés Il apprécie les terrains frais et les climats tempérés. Il existe plus de 20 variétés d'épinards : Monstrueux de Viroflay, Géant d'hiver, Polka, Symphonie… Différentes régions de France le produisent : - au printemps : Bretagne, Île-de-France, - en automne : Picardie, Île-de-France, - en hiver : Provence-Alpes-Côte-d'Azur. L'été, on trouve sur les marchés une plante voisine, la tétragone cornue, qu'on appelle aussi "épinard d’été" ou "de Nouvelle-Zélande", et qu'on cuisine comme l'épinard. L’épinard est le deuxième légume surgelé consommé en France, derrière le haricot vert. Au niveau mondial, les principaux pays producteurs sont les États-Unis, les Pays-Bas et la Scandinavie. Valeur nutritive C'est un des végétaux les plus légers (25 kcal/100 g). Il est très riche en magnésium, manganèse, fer, vitamine A, B9, très intéressante notamment pour les femmes enceintes, et K. Il est riche en cuivre, vitamine B2 et B6. Il contient également du calcium, du phosphore, du potassium, du zinc, et des vitamines B1, C et E. L'épinard contient plusieurs antioxydants : caroténoïdes (lutéine, zéaxanthine), acide férulique, chlorophylle. Il contient de la bétaïne, susceptible d'aider à traiter certaines maladies du foie, de réduire les risques de maladies cardiovasculaires et d'améliorer la performance athlétique. Il contient également en grande quantité des glycolipides, qu'on trouve aussi dans le thé vert et le persil, auxquels les chercheurs attribuent un potentiel anticancer. Il est riche en fibres alimentaires (2,7 g/100 g). Comment le choisir Ses feuilles doivent être souples, vert foncé, brillantes, tendres et charnues. Il faut éliminer les feuilles fanées, abîmées, avec des taches jaunes ou noires ainsi que celles qui sont trop humides. On préfèrera les jeunes pousses qui sont souvent plus tendres. Comment le conserver Pas plus de deux jours dans le bac à légumes du réfrigérateur. Il est fragile et, une fois cueilli, il perd rapidement ses vitamines. Le mieux est de le cuisiner dans la journée qui suit l'achat. L'épinard se conserve très bien au congélateur. Il doit être au préalable blanchi (passé dans l'eau bouillante puis rincé à l'eau froide) pendant deux minutes, puis il faut l'essorer avant de le mettre dans les sacs de congélation. Comment le préparer Il faut enlever les feuilles indésirables, puis le laver à grande eau sans le faire tremper pour éviter la perte de vitamines. Sauf pour les jeunes pousses, il faut ensuite enlever la côte de la feuille. Avec un petit couteau, on coupe la queue à sa base, puis en pinçant la feuille, on tire la nervure du côté opposé, jusqu'en haut de la feuille. Comment le déguster Cru, on mange les jeunes pousses d'épinard en salade : seules, mélangées avec d'autres salades (cresson, oseille, roquette…) ou divers ingrédients (parmesan, mozarella, pomme, poire, orange, noix, avocat, pommes de terre…). Pour le faire cuire, certains le font bouillir dans une casserole d'eau salée, d'autres le font revenir directement à la poêle. Plus la cuisson est rapide, plus ses qualités nutritionnelles seront préservées. Le mieux est de le faire cuire à la vapeur ou à l'étuvée. Il suffit par exemple de le mettre, à peine égoutté, dans une grande casserole à feu moyen sans ajouter d'eau, et de le laisser cuire à couvert une dizaine de minutes en le retournant à mi-parcours. Attention, il réduit énormément, il faut prévoir environ 1 kg d'épinard pour quatre personnes ! On le sert ensuite nature ou nappé d'un peu de beurre et de jus de citron, d'un filet d'huile d'olive, de crème fraîche, de sauce Mornay ou béchamel… L'épinard entre dans la composition de soupes, purées, gratins, soufflés, farces, tartes, quiches, pâtés, terrines… source:www.viesaineetzen.com
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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 15:19



LE CHOU

Au Moyen-âge, la soupe aux choux est en Europe une des bases de l'alimentation paysanne et reste jusqu'au XIXe siècle l'essence de la nourriture populaire.
Mais le chou est également apprécié par les rois et trône notamment aux banquets de Louis XIV. À cette époque, il est du reste reconnu pour protéger du scorbut grâce à sa conservation dans la saumure qui préserve sa vitamine C, et il fait partie des grandes expéditions vers les Amériques.

Les tiges de certains ch...oux une fois séchées servent à faire des cannes. Celle de Charlot vient d'un chou de l'île de Jersey !

Les différents choux
Ils appartiennent tous à la famille des brassicacées (qu'on appelait auparavant les crucifères),

Au fil des siècles, le chou sauvage a donné naissance, par la culture et la sélection, à des variétés extrêmement diverses selon qu'on développe les feuilles, les fleurs ou la tige :
- chou non pommés : choux verts en feuille
- choux pommés : cabus blancs ou rouges, choux verts, à choucroute
- choux-fleurs : blancs, verts, violets
- choux romanesco
- brocolis : à pomme, à jets verts
- choux de bruxelles
- choux-rave
- choux-navets, rutabagas
- chou chinois : pé-tsai, pak-choi

Valeur nutritive
Très léger, avec ses 22 kcal/100 g, le chou est l'un des légumes les moins énergétiques.

Très riche en vitamines K, il contient également des vitamines B1, B6 et C, ainsi que du fer et du manganèse. Une portion de 200 g couvre 50 % de nos besoins quotidiens en vitamine C.

Il est également riche en fibres et en antioxydants (flavonoïdes).

Des études scientifiques montrent qu'une consommation régulière de choux (au moins une portion par semaine) est associée à une diminution du risque de cancers.
Certains parlent même d'un "aliment anticancer". En effet, une fois transformés par la digestion, les composés soufrés des choux ou "glucosinolates" (qui leur donnent par ailleurs leur odeur caractéristique) seraient susceptibles de limiter le développement des cellules cancéreuses.

Comment le choisir
Il doit être ferme et lourd. Ses feuilles doivent être serrées, brillantes et doivent crisser sous les doigts.

Comment le conserver
Tout dépend des types de choux. Les choux pommés se conservent quelques semaines dans le tiroir à légumes du réfrigérateur.
Les autres choux n'y dépassent pas une semaine, voire quelques jours pour les choux de Bruxelles.

Comment le préparer
On le prépare comme une salade, en enlevant le trognon et les feuilles abîmées et en le lavant à l'eau fraîche.

Comment le manger
- Crus, certains choux comme le chou blanc et le chou rouge font merveille, râpés ou finement émincés dans les salades.
Ils se marient parfaitement avec des raisins secs, des morceaux de pommes, des noix, de l'oignon… En Amérique du Nord, c'est le fameux "cole slow", qu'on laisse attendrir quelques heures dans la vinaigrette.

Plusieurs variétés de choux gagnent à être blanchies avant d'être cuisinées, ce qui permet d'en enlever certains composés difficiles à digérer.

- Cuit à la vapeur ou braisé, il accompagne de nombreuses viandes (pintade, veau, porc…) et poissons (lotte, haddock, saumon…).

On peut l'incorporer dans différentes recettes de soupes. L'une d'elles, le Caldo Verde est considérée comme plat national au Portugal.

Il est au centre de nombreuses recettes : potée, chou farci, aumônières, gratin, purée, ragoût… Et la fameuse choucroute !

Source: www.viesaineetzen.com
 
Photo : LE CHOU Au Moyen-âge, la soupe aux choux est en Europe une des bases de l'alimentation paysanne et reste jusqu'au XIXe siècle l'essence de la nourriture populaire. Mais le chou est également apprécié par les rois et trône notamment aux banquets de Louis XIV. À cette époque, il est du reste reconnu pour protéger du scorbut grâce à sa conservation dans la saumure qui préserve sa vitamine C, et il fait partie des grandes expéditions vers les Amériques. Les tiges de certains choux une fois séchées servent à faire des cannes. Celle de Charlot vient d'un chou de l'île de Jersey ! Les différents choux Ils appartiennent tous à la famille des brassicacées (qu'on appelait auparavant les crucifères), Au fil des siècles, le chou sauvage a donné naissance, par la culture et la sélection, à des variétés extrêmement diverses selon qu'on développe les feuilles, les fleurs ou la tige : - chou non pommés : choux verts en feuille - choux pommés : cabus blancs ou rouges, choux verts, à choucroute - choux-fleurs : blancs, verts, violets - choux romanesco - brocolis : à pomme, à jets verts - choux de bruxelles - choux-rave - choux-navets, rutabagas - chou chinois : pé-tsai, pak-choi Valeur nutritive Très léger, avec ses 22 kcal/100 g, le chou est l'un des légumes les moins énergétiques. Très riche en vitamines K, il contient également des vitamines B1, B6 et C, ainsi que du fer et du manganèse. Une portion de 200 g couvre 50 % de nos besoins quotidiens en vitamine C. Il est également riche en fibres et en antioxydants (flavonoïdes). Des études scientifiques montrent qu'une consommation régulière de choux (au moins une portion par semaine) est associée à une diminution du risque de cancers. Certains parlent même d'un "aliment anticancer". En effet, une fois transformés par la digestion, les composés soufrés des choux ou "glucosinolates" (qui leur donnent par ailleurs leur odeur caractéristique) seraient susceptibles de limiter le développement des cellules cancéreuses. Comment le choisir Il doit être ferme et lourd. Ses feuilles doivent être serrées, brillantes et doivent crisser sous les doigts. Comment le conserver Tout dépend des types de choux. Les choux pommés se conservent quelques semaines dans le tiroir à légumes du réfrigérateur. Les autres choux n'y dépassent pas une semaine, voire quelques jours pour les choux de Bruxelles. Comment le préparer On le prépare comme une salade, en enlevant le trognon et les feuilles abîmées et en le lavant à l'eau fraîche. Comment le manger - Crus, certains choux comme le chou blanc et le chou rouge font merveille, râpés ou finement émincés dans les salades. Ils se marient parfaitement avec des raisins secs, des morceaux de pommes, des noix, de l'oignon… En Amérique du Nord, c'est le fameux "cole slow", qu'on laisse attendrir quelques heures dans la vinaigrette. Plusieurs variétés de choux gagnent à être blanchies avant d'être cuisinées, ce qui permet d'en enlever certains composés difficiles à digérer. - Cuit à la vapeur ou braisé, il accompagne de nombreuses viandes (pintade, veau, porc…) et poissons (lotte, haddock, saumon…). On peut l'incorporer dans différentes recettes de soupes. L'une d'elles, le Caldo Verde est considérée comme plat national au Portugal. Il est au centre de nombreuses recettes : potée, chou farci, aumônières, gratin, purée, ragoût… Et la fameuse choucroute ! Source: www.viesaineetzen.com

 

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 15:23

 

LE SALSIFIS

Quelques variétés
C'est la racine de la plante qu'on consomme en légume. La majeure partie des salsifis qu'on trouve sur les marchés sont en fait des scorsonères. On les appelle "salsifis noir" alors qu'il s'agit d'une plante, certes de la même famille, mais différente.

Quelques exemples de variétés :
- Salsifis, écorce brun clair, forme conique : mammouth à grosse racine,
- Scorsonère, écorce noire, forme cylindrique : géante noire de Russie.

... En France, on le cultive principalement dans le nord de la Picardie et dans le Loiret.

Valeur nutritive
Il est bon pour la ligne avec ses 30 kcal/100 g.
Il contient du potassium, du magnésium, du phosphore, du fer, du manganèse, du cuivre. Il contient des vitamines B1, B2, B5, B6 et C.

Il renferme des antioxydants, principalement des flavonoïdes (quercétine). De ce fait, il peut contribuer à une diminution des risques de maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies liées au vieillissement.

Il contient de l'inuline, un glucide dérivé du fructose qui n'est pas digéré par l'estomac et qui, dans le côlon, joue le rôle de prébiotique, c'est-à-dire favorisant la croissance des "bonnes" bactéries essentielles à l'équilibre de la flore intestinale. Par ailleurs, l’inuline pourrait avoir un effet bénéfique sur le contrôle de la glycémie et des lipides sanguins (dont le cholestérol) ainsi qu'un effet protecteur contre certains cancers, notamment ceux de l’intestin et du sein.

Le salsifis est riche en fibres alimentaires (4 g/100 g).

Comment le choisir
Il doit être ferme et fin : plus jeune il sera plus tendre.
Il faut penser que l'épluchage fait perdre environ 40 % de son poids.

Si l'on est rebuté par le fait de le peler, on peut l'acheter en conserve ou surgelé.

Comment le conserver
Quatre ou cinq jours dans le bac à légumes du réfrigérateur, dans un papier absorbant.

Comment le préparer
Il faut le peler avec des gants ou les mains enduites d'huile pour éviter de se tacher. Il faut le couper ensuite en tronçons de 5 à 6 centimètres.
Pour éviter l'oxydation, il vaut mieux le cuire dès qu’il est pelé. Sinon il est recommandé de le mettre à tremper dans de l’eau citronnée ou vinaigrée.
Certains conseillent de le peler une fois cuit.

Comment le cuire
Le plus généralement on fait cuire le salsifis à l'eau (10 à 15 minutes selon la grosseur) ou à la vapeur.
On peut aussi le faire sauter à la poêle ou le laisser cuire à l'étuvée.

Comment le déguster
Certains le mangent cru, à la vinaigrette.
On peut aussi consommer ses jeunes feuilles, ses tiges, ses fleurs et ses boutons : crus ou légèrement cuits.

Cuit, il peut se déguster froid nappé de vinaigrette, de crème fraîche ou de mayonnaise, seul ou en compagnie d'olives, de jambon cru ou d'anchois.

Chaud, il accompagne magnifiquement les poissons, les volailles, les viandes blanches (veau, agneau), les plats de pâtes, les omelettes...
On peut le proposer nature, nappé de beurre, de crème fraiche, d'huile d'olive ou de sauce béchamel. On peut le mélanger avantageusement avec de la pomme de terre, de l'épinard, du poireau, du céleri…

source:viesaineetzen.com
 
Photo : LE SALSIFIS Quelques variétés C'est la racine de la plante qu'on consomme en légume. La majeure partie des salsifis qu'on trouve sur les marchés sont en fait des scorsonères. On les appelle "salsifis noir" alors qu'il s'agit d'une plante, certes de la même famille, mais différente. Quelques exemples de variétés : - Salsifis, écorce brun clair, forme conique : mammouth à grosse racine, - Scorsonère, écorce noire, forme cylindrique : géante noire de Russie. En France, on le cultive principalement dans le nord de la Picardie et dans le Loiret. Valeur nutritive Il est bon pour la ligne avec ses 30 kcal/100 g. Il contient du potassium, du magnésium, du phosphore, du fer, du manganèse, du cuivre. Il contient des vitamines B1, B2, B5, B6 et C. Il renferme des antioxydants, principalement des flavonoïdes (quercétine). De ce fait, il peut contribuer à une diminution des risques de maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies liées au vieillissement. Il contient de l'inuline, un glucide dérivé du fructose qui n'est pas digéré par l'estomac et qui, dans le côlon, joue le rôle de prébiotique, c'est-à-dire favorisant la croissance des "bonnes" bactéries essentielles à l'équilibre de la flore intestinale. Par ailleurs, l’inuline pourrait avoir un effet bénéfique sur le contrôle de la glycémie et des lipides sanguins (dont le cholestérol) ainsi qu'un effet protecteur contre certains cancers, notamment ceux de l’intestin et du sein. Le salsifis est riche en fibres alimentaires (4 g/100 g). Comment le choisir Il doit être ferme et fin : plus jeune il sera plus tendre. Il faut penser que l'épluchage fait perdre environ 40 % de son poids. Si l'on est rebuté par le fait de le peler, on peut l'acheter en conserve ou surgelé. Comment le conserver Quatre ou cinq jours dans le bac à légumes du réfrigérateur, dans un papier absorbant. Comment le préparer Il faut le peler avec des gants ou les mains enduites d'huile pour éviter de se tacher. Il faut le couper ensuite en tronçons de 5 à 6 centimètres. Pour éviter l'oxydation, il vaut mieux le cuire dès qu’il est pelé. Sinon il est recommandé de le mettre à tremper dans de l’eau citronnée ou vinaigrée. Certains conseillent de le peler une fois cuit. Comment le cuire Le plus généralement on fait cuire le salsifis à l'eau (10 à 15 minutes selon la grosseur) ou à la vapeur. On peut aussi le faire sauter à la poêle ou le laisser cuire à l'étuvée. Comment le déguster Certains le mangent cru, à la vinaigrette. On peut aussi consommer ses jeunes feuilles, ses tiges, ses fleurs et ses boutons : crus ou légèrement cuits. Cuit, il peut se déguster froid nappé de vinaigrette, de crème fraîche ou de mayonnaise, seul ou en compagnie d'olives, de jambon cru ou d'anchois. Chaud, il accompagne magnifiquement les poissons, les volailles, les viandes blanches (veau, agneau), les plats de pâtes, les omelettes... On peut le proposer nature, nappé de beurre, de crème fraiche, d'huile d'olive ou de sauce béchamel. On peut le mélanger avantageusement avec de la pomme de terre, de l'épinard, du poireau, du céleri… source:viesaineetzen.com
 
    
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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 13:46

 


 
Du haut de ses 30 mètres, le châtaignier, majestueux, profite de la chaleur et de la lumière de Juin pour se faire beau. Étincelant avec ses longues fleurs jaunes, il régale les abeilles qui disséminent so...
n pollen aux quatre vents et il régale les hommes qui se délectent de son miel. De petites bogues apparaissent alors en juillet. Cette coque hérissée de piquants protège trois petites graines des prédateurs. Comme disent les anciens : " au mois d'août, la châtaigne doit être dans un four, au mois de septembre dans un puits...". La chaleur de l’été est propice au développement des graines dans les bogues. Une carapace mince, résistante, brune et brillante se forme... les châtaignes sont bientôt là. Si la chaleur de l’été était réconfortante, les pluies du mois de septembre les nourrissent et les font grossir. Elles se gorgent d’eau, et développent toutes leurs qualités nutritionnelles. Au bout de la maturité, la bogue finit par s’ouvrir. Le vent et la pluie font tomber les châtaignes. Ce n’est pas pour déplaire les sangliers et autres animaux sauvages. Ce n’est pas pour nous déplaire non plus.
Depuis des siècles, la châtaigne est très appréciée. Au siècle dernier, le châtaignier alors appelé « arbre à pain », a bien sauvé quelques familles de la famine. Au mois d’octobre et novembre, grillées ou cuites à la vapeur, elles agrémentent nos plats de viandes au four. Avec un peu de citrouille, nous l’apprécions tout particulièrement en soupe. La crème de marron et les marrons glacés ravissent les grands comme les petits. Hautement nourrissant, très énergisant avec sa forte teneur en vitamine C et son potassium, ce fruit « nourrit son homme ». Comment passer à côté de ce fruit de saison. Encore une fois, la nature nous régale…

Par Romain SAMPEDRO – Producteur de châtaignes bio
 
 
Photo : C’est la saison des châtaignes ! Du haut de ses 30 mètres, le châtaignier, majestueux, profite de la chaleur et de la lumière de Juin pour se faire beau. Étincelant avec ses longues fleurs jaunes, il régale les abeilles qui disséminent son pollen aux quatre vents et il régale les hommes qui se délectent de son miel. De petites bogues apparaissent alors en juillet. Cette coque hérissée de piquants protège trois petites graines des prédateurs. Comme disent les anciens : " au mois d'août, la châtaigne doit être dans un four, au mois de septembre dans un puits...". La chaleur de l’été est propice au développement des graines dans les bogues. Une carapace mince, résistante, brune et brillante se forme... les châtaignes sont bientôt là. Si la chaleur de l’été était réconfortante, les pluies du mois de septembre les nourrissent et les font grossir. Elles se gorgent d’eau, et développent toutes leurs qualités nutritionnelles. Au bout de la maturité, la bogue finit par s’ouvrir. Le vent et la pluie font tomber les châtaignes. Ce n’est pas pour déplaire les sangliers et autres animaux sauvages. Ce n’est pas pour nous déplaire non plus. Depuis des siècles, la châtaigne est très appréciée. Au siècle dernier, le châtaignier alors appelé « arbre à pain », a bien sauvé quelques familles de la famine. Au mois d’octobre et novembre, grillées ou cuites à la vapeur, elles agrémentent nos plats de viandes au four. Avec un peu de citrouille, nous l’apprécions tout particulièrement en soupe. La crème de marron et les marrons glacés ravissent les grands comme les petits. Hautement nourrissant, très énergisant avec sa forte teneur en vitamine C et son potassium, ce fruit « nourrit son homme ». Comment passer à côté de ce fruit de saison. Encore une fois, la nature nous régale… Par Romain SAMPEDRO – Producteur de châtaignes bio Mousse de châtaigne aux éclats de nougat sur le site de l'Agence BIO : bit.ly/TgleUS
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10 novembre 2012 6 10 /11 /novembre /2012 13:49
C’est la saison du potimarron !
Connaissez-vous le potimarron, cette courge en forme de poire, dont la saveur particulière rappelle celle de la châtaigne ?
Astuce cuisine bio : il n’est pas nécessaire de retirer la peau du potimarron avant...
la cuisson !
(Re)découvrez aussi la grande diversité des courges : citrouille, potiron, courge butternut, pâtissons, courge spaghetti, courge patidou… et bien d’autres encore !
Voici quelques idées de recettes à base de potimarron BIO sur le site de l'Agence BIO :
http://www.agencebio.org/upload/A_Veloute_Potimarron.pdf
http://www.agencebio.org/upload/courge_spaghetti_rotie_au_four.pdf
http://www.agencebio.org/upload/h_Tajine_de_veau_au_potimarron_et_epices.docx
Photo : C’est la saison du potimarron ! Connaissez-vous le potimarron, cette courge en forme de poire, dont la saveur particulière rappelle celle de la châtaigne ? Astuce cuisine bio : il n’est pas nécessaire de retirer la peau du potimarron avant la cuisson ! (Re)découvrez aussi la grande diversité des courges : citrouille, potiron, courge butternut, pâtissons, courge spaghetti, courge patidou… et bien d’autres encore ! Voici quelques idées de recettes à base de potimarron BIO sur le site de l'Agence BIO : http://www.agencebio.org/upload/A_Veloute_Potimarron.pdf http://www.agencebio.org/upload/courge_spaghetti_rotie_au_four.pdf http://www.agencebio.org/upload/h_Tajine_de_veau_au_potimarron_et_epices.docx
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« Toutes les choses sont reliées entre elles. Vous devez apprendre à vos enfants que la terre sous leurs pieds n'est autre que la cendre de nos ancêtres, que la terre est notre mère et que tout ce qui arrive à la terre arrive aux enfants de la terre. Ceci nous le savons : la terre n'appartient pas à l'homme, c'est l'homme qui appartient à la terre. Toutes les choses sont reliées entre elles comme le sang est le lien entre les membres d'une même famille. » Chef indien Seattle, 1854.

bio par convictions depuis les années 80